À la recherche du destin

Je m'envacer avec ma demarche feline et lui dit


Que fait tu la toi pourquoi tu es sur le terrains de l'école et pourquoi fait tu une musique elfique


Je dit ceci en fesant agrandire mes griffe près a lui porter une attaque du tonner si je n'obtenait pas les renseignement desirer et d'un here de defi je lui dit

lève toi et affronte moi je veux voir ta force

je lancai mon kunai sur la flute et je dit


Ne prend pas mes avertissement a la légère je peut me montrer vraiment malin petit elf

A tu peur de te faire battre par une fille jeune hommeou peut etre ta brume serais t'elle trop faible pour relever un petit defi pour le plaisir


Dige d'un here moqueur et vraiment mesquain

Sircophène était, comme à sa nouvelle habitude, dans la Forêt Noire, cherchant un endroit où dépenser sa violence gratuite dûe à sa colère incessante. Il vagabondait, avec une nouvelle vitesse qui lui était inconnnue, d'arbre en arbre sans un bruit. Il allait si vite et se projetait si loin qu'il entendit les sons de paroles quelques mètres après avoir dépassé l'endroit. Tout en gardant son silence, il s'approcha de deux personnes en sentant très bien une odeure familière... Comment ce peut-il qu'il y en ait ici? J'étais le seul assez disgrâcieux pour recevoir une invitation et le clan à fait remarquer à l'école de ne plus les déranger... Pensait-il. Finalement, il la reconnu; cette gamine qui le suivait toujours, cette gamine qui essayait d'être comme les autres Ulins, mais qui y parvenait difficilement.

"Toi?!"

Il remarqua qu'il avait prononcé ces paroles qu'après les avoir dites de son coin dans l'ombre. Cela le surprit lui-même, comme tous les nouveaux aspects de lui-même qui ne comprenait plus de la faute de la malédiction des Daédriques... Une autre insulte à sa race fière!

Ah le voila qui se ramene qu'est-ce que tu fait ici toi je te croyais mort


Dige en le regardent droit dans les yeux pour lui prouvé ue j'avais enfin fait ma place

Sircophène aurait normalement rit de l'imprudence de la jeune femme, même étant une Uline, mais seule chose qui sortit de son corps fut un silement de chat strident, prouvant sa mauvaise humeur. Ses yeux jaunes étincelaient dans le noir et on ne pouvait voir que ça; sauf pour l'autre femme chat qui avait la capacité de voir dans le noir.

"Je te ferai remarquer que c'est exactement pour cette raison que moi, un Ulin digne de ce nom, fut rejeter par notre clan! J'étais un candidat parfait pour être le chef du clan et l'école est venue tout bousiller! Elle a ruiner ma vie et j'en prendrai vengeance! J'y suis professeur et je ne vois pas ce que TU fais ici!"

Son ton était mécontent et il ne semblait pas du tout dans son assiette; pas du tout comme la jeune Uline se souvenait de lui...

Figure toi que j'ai recu cette lettre moi aussi mais pas en tant que prof mais en tant qu'élève et ne croit pas etre plus fort que moi j'ai passé plusieur année a défendre le village pendant que toi tu te prélassait ici tu n'es qu'un trraite


dit-elle avec une tele arrogance et une telle frustration

Sircophène aurait normalement -encore une fois- rit de l'arrogance de la jeune Uline, mais cette fois-ci, la colère s'empara totalement de lui. Un traître? Pas du tout, il n'avait jamais voulu quitter la tribue et ils le savaient tous. Moins fort qu'elle? Elle délirait! Il était devenu plus fort que presque tous les Ulins ensemble; à l'École d'Arbar, les outils pour s'entraîner ainsi que les nouvelles technique n'étaient pas des choses qui manquaient! Il se rua donc, avec sa nouvelle vitesse sortie d'on ne sait où, vers la gamine et lui donna tout simplement une gifle du revers de sa main gauche; la moins forte. Celle-ci n'eût même pas le temps de s'appercevoir du geste du professeur qu'elle s'était déjà cogné durement la tête contre un arbre, plusieurs mètres plus loin.
Comme s'il venait de remarquer son geste, le visage de Sircophène passa de la colère pure et dure à de l'incrédulité. Il se regarda les mains et son visage se contortionna dans une expression d'haine... Contre lui-même. Son cri bestial fit trembler tout être vivant autour de lui et le professeur, conscient de son acte, semblait chercher où aller... En fait, il cherchait Thanaris!

Chaos observait encore la scène il trouvait ça curieux. Deux membre de la même espèce se tuer. Il regarda la jeune fille écrasée sur l'un des
arbres. Il tourna son regard vers le professeur...

Qu'elle brutalité.... souffla-t-il. j'ignorais que LES PROFESSEURS AVAIT LE DROIT UNIQUE ET MAJESTUEUX DE BLESER LES ÉTUDIANTS.

Dit-il en grondant la dernière phrase... Alors que curieusement la brume semblait levée vers lui prenant une teinte rouge.

Sircophène, en entendant les mots de l'elfe de brume, sursauta, comme s'il pensait être seul. Une lueur folle paraissait dans ses yeux et il sauta en criant pour s'éloigner de la brume, comme s'il en avait peur. Quand il fut plus loin sur un arbre, son visage dissipa toute peur pour y démontrer... De la colère!

-Sircophène, si j'étais toi, j'essaierai de ne pas recommencer. Je te rappelle que ta vie importe autant que celle de n'importe quel élève : si tu en tues un, tu périras la seconde suivante.

La voix, que le professeur reconnut aisément, venait d'entre quelques arbres. Il se retourna et vit alors Narcissa Valentine, la main toujours sur la garde de son épée, qui le fixait, son visage toujours impassible. Elle l'avait probablement suivi sur les ordres de Thanaris : depuis quelques temps, elle était devenu responsable des actes de l'ulin et le suivait donc partout où il allait, même si elle se montrait parfois plus ou moins effacée. Cette fois, elle avait décidé de se montrer.

Pourquoi te mettre sur les garde je ne croit pas que quelqu'un tanterait quoi que se soi contre toit deux prof sont ici présent se serais de la folie

Dis-je d'un aire impassive tout en me tenant sur les guardes mes près a me defendre au moindre bruit supect . Parce que j'avais aussi entendu et sentie cette audeur de sang

Ayant entandu le jeune elf soter eli fit un bon sur le coter pour eviter le coup que sont adveraire lui avait donné elle fit ensuite un piveau pour contre-attaqué lui balancant sur le coup un coup de pied dans les jambe pour le faire trébucher.

Fesant alonger mes griffe je tranché la tentacule du monstre et je me depecher d'aller me cacher derriere l'elf de brume avec une peur blue de se qui venait de m'enrouler le pied

Aaaaaaaaaaaaaaaaaah ses quoi sa sa ses enrouler a mon pied

Dit-elle avec un here terrifier