Chapitre 1: Cher journal...

Yo all,

vous vous rapellez la prologue que j'avait mit sur le forum il y a de cela très longtemps? Eh bien, je vous reviens avec le premier Chapitre de l'histoire pour savoir votre avis sur celle-ci. Merci d'avance!

Prologue: https://ecoledesheros.forumsrpg.com/forum-artistique-f16/le-messager-des-brumes-t102.htm

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« Cher journal... »

« ... »

« Je me suis souvent demandé d'où venait ce mythe, je devrais plutôt dire norme, qu'un journal intime doit commencer à chaque nouveau jour ainsi. Est-ce comme cela depuis toujours? Qui est l'auteur, que dis-je l'artiste, qui a façonné ceci et que sans le savoir a engendré un phénomène de masse et créa dans son inconscience la plus total en lançant ses deux mots une norme désormais imprégnée dans les pensés de tous. Nous ne pouvons parler là d'une question existentielle, mais c'est le genre de choses anodines qui me trotte dans la tête ces jours-ci. Vous direz que je ne suis qu'un simple jeune fabuleur avangardiste, doublé d'un penseur, de seize ans qui n'a rien d'autre à faire que de ce poser ces question sans réponse inutile qui le resterons à jamais, même après ma mort? Eh bien, je vous répondrai que vous avez simplement raison. »

« Depuis le départ de mon père j'ai grandement changé, cependant cela tu le sais déjà car j'en ai si souvent parlé. Pourquoi est-ce qu'aujourd'hui je décide, alors qu'il est partit depuis longtemps, de reparler de cet homme qui a su marquer ma vie de jeune homme? Cela concerne la suite de mon histoire, mais premièrement revenons au sujet que j'ai déjà commencé à aborder, les normes non écrites qui sont considérées comme les bases de tout, même si personne ne connait leurs raisons d'être... »

« Nous pouvons également nous pencher sur un autre exemple, comme le fait de s'adresser à une être omniprésent lorsqu'on écrit dans un journal comme je suis en train de le faire aujourd'hui. Faisons-nous cela comme si nous nous adressions à dieu? Est-ce par manque de courage, car tout en faisant comme si nous racontâmes nos expériences et nos pensés à quelqu'un en notre fort intérieur nous savons tous très bien que personne ne nous lira et ainsi les autres ne porterons jamais de jugement sur nous pour nos convictions. »

« À vrai dire, je me surprend moi-même des fois. Quand je me lance dans de telles questions, j'ai souvent du mal à ne pas me laisser emporter. Non mais vous avec vu la longueur de phrase que j'ai écrit? Ma famille à tout fait pour que je reçoive cette éducation, ils ont fait leur possible pour que je puisse apprendre à lire, à compter, à vraiment perdre mon temps! Voila tout. »

–Nous allons avoir un étudiant dans la famille!

« S'écriait sans cesse ma mère, cette femme à qui je trouve toujours de nouvelles raisons de la détester. Comme nous sommes trois garçons chez-nous et que je suis le second tu te doute bien qu'enfant je n'étais pas le top de ses priorités, elle a toujours concentrée son attention sur une seule personne ; Ulrick le plus jeune de nous tous. Mon grand frère, Dan, tant qu'à lui avait longtemps été un bon ami, jusqu'au jour où quand j'étais encore jeune il préférait aller se promener dans les champs avec ses amis plutôt que de passer du temps avec moi, son petit frère. Les seuls bons souvenirs que je garde précieusement en mémoire sont ceux qui concernent mon père... »

« Pourquoi est-ce que je choisis aujourd'hui en particulier pour reparler de cet homme et avoir tout ce texte pour en arriver finalement à quoi? Je dois quémander encore une fois un peu de temps, je ne sais pas pourquoi, mais je suis persuadé que si je réécris, que si je revis mentalement tous ces événements je trouverais une bonne explication. Une explication sur ce pressentiment que je ressens à l'intérieur de moi. C'est ridicule, je le sais, mais est-ce possible que mes craintes soient justifiées? Ce peut-il que, de qu'elle façon que ce soit, je puisse avoir un lien qui dépasse celui corporel avec mon père? Si je me fie aux principes qu'on m'a appris en ville durant mes études, rien de logique ne peut expliquer ce sentiment qui me tenaille sans arrêt tous les jours depuis une semaine... »

« Plus j'y pense, moins je me trouve crédible. Sérieusement, ça me dépasse totalement! Je le vis, je le ressens, je l'écris, je ne le comprends toujours pas. C'est pourquoi je dois tout me souvenir, pour comprendre ce qui selon moi est impossible, n'y plus n'y moins. »

« Mes parents ont été choisis, dès leur naissance, par leurs parents pour former une famille. Un typique mariage arrangé fait dans les normes comme n'importe quel autre dans notre monde. À l'âge de dix-huit ans, mais mère tomba enceinte de mon grand frère et immédiatement durant l'année suivante ma mère fut enceinte de moi. Quelques mois plus tard ma mère eut mon frère cadet. Cependant l'accouchement fut extrêmement difficile et le médecin de la ville nous dit qu'à cause de blessures internes elle ne pourrait plus jamais enfanter. »

« Remontons encore plus en arrière, avant même que mes parents prennent possession de cette ferme, la appartenait à mon grand-père qui l'avait acheté alors qu'elle n'était encore qu'un espace vague à moitié envahi par la végétation. Cela lui prit plusieurs années avant d'arriver à l'aménagement paysagé que notre terrain occupe présentement et mon père a, si je me suis bien car je n'y suis point remonté depuis fort longtemps, gardé la hache de mon aïeul en sureté dans le grenier, à l'intérieur d'un coffre scellé. »

« Moi et ma mère n'avons jamais eu de réel lien entre nous. Même si elle m'a payée toute mes études, je doute que c'était parce qu'elle m'aime, loin de la. C'était une méthode pour m'éloigner de la maison, rien de plus. Comment je le sais? Très simple car dès l'instant que je ne suis plus la, elle peut se concentrer uniquement sur Ulrick et le chouchouté comme un roi en obéissant à toutes ses demandes, comme un chien à qui on a apprit des tours. Une simple exclamation du style : »

-J'ai faim!

« Suffit pour que ma mère mette la maison à l'envers pour lui trouver une simple pomme ou un morceau de pain, quitte à aller prendre de la farine en ville pour lui faire. Cependant si jamais j'ai la fourberie, que dis-je le sacrilège, de dire tout haut la faim qui m'habite, je me fais répondre un dur : »

-Arrête de te plaindre! Si tu as si faim va au marché!

« Et comme à l'habitude je fulmine intérieurement contre cette femme, cette femme d'on je ne pourrais jamais pardonner ses actes. Juste à y pensé, j'ai une rage intérieur qui explose en moi, s'en ait insupportable. Comment pourrais-je lui pardonner cela, comme mon père l'a pu... »

« Mon père... »

« Mon papa... »

« Ma figure paternelle exemplaire... »

« La seule personne avec qui je n'ais jamais réussis à m'entendre sur cette planète. Je le considérais comme mon modèle plus tard, le genre d'homme dans lequel on à envi de suivre les traces dans notre future. Nos longues discutions sur tout pouvaient durer des heures, sans jamais qu'un d'entre nous ne veuille les arrêter, mais pourtant j'ai bien remarqué que durant les dernières semaines durant lesquelles je l'ais côtoyé il devenait distant, comme si un lourd poids pesait sur ses épaules. Était-ce uniquement des idées que je me faisais ou il souffrait effectivement en silence, ne pouvant m'en parler tellement cela était important pour lui, ou plutôt terrible! »

« Encore une autre qu... »
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Avant même de terminer sa phrase, notre jeune héro délaisse sa plume pour entendre une nouvelle dévastatrice. Qui est-il? Qu'elle sera sa destinée? Qu'était suffisament dérengeant pour l'arrêter dans son inspiration et sur sa discution enflammé sur son père?

Vous en serez plus dans le prochain chapitre sur notre jeune héros; Chapitre 2: Inconcevable!